Fête de Noel : L’Ong Les Volontaires contre la pauvreté gâte plus de 200 enfants à Koumassi
Les enfants heureux de recevoir des cadeaux en cette fin d'année
Ecoutez cet article en audio
Lire
Continuer
Pause
Arrêter
L’Ong Les Volontaires contre la pauvreté a offert un
moment de joie et de partage à plus de 200 enfants de familles démunies de la
commune de Koumassi, le dimanche 21 décembre 2025 au terrain Prozaro du
quartier Prodomo, C’était à l’occasion de la première édition de l’arbre de noël dénommée « Ma chic fête de
Noël ».Prenant la parole, Madame Chantal Balley, présidente
de l’ONG, par ailleurs épouse du Maire de la commune de Koumassi, Narcisse
Toussaint Balley, a exprimé sa profonde
gratitude au Conseil municipal, dont le
soutien a été déterminant pour la réussite de cette activité.Elle a également précisé que les enfants bénéficiaires
ont été sélectionnés dans les confins de la commune de Koumassi.« Nous sommes allés chercher les enfants dans les
quartiers les plus reculés de la commune pour les conduire à ici et leur offrir un moment de bonheur. Nous
voulons, à travers cette fête, leur donner le sourire et magnifier leur
innocence », a-t-elle fait savoir. Avant d’annoncer que les prochaines éditions
se dérouleront dans d’autres quartiers. La représentante du Maire de Koumassi, Madame Fondio,
7ᵉ adjointe au maire, a salué cette action en faveur de l’épanouissement des
enfants et félicité l’ONG pour son engagement social. Elle a exprimé la
reconnaissance du conseil municipal à l’endroit de la présidente Chantal Bailey
pour son dévouement en faveur des enfants et des femmes. Elle a également
réaffirmé que cette initiative s’inscrit pleinement dans la vision sociale du
conseil municipal, qui continuera d’accompagner ce type d’actions. À l’issue de la cérémonie, chaque enfant est reparti
le cœur léger, muni d’un cadeau, d’une collation et d’un repas froid.Créée le 15 janvier 2019, l’Ong Les Volontaires contre la pauvreté œuvre
pour la promotion de la femme et de l’enfant, tout en contribuant au
renforcement du tissu social. Solange ARALAMON
Donnez votre avis